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« Sans le vouloir, j’avais commis le crime parfait : personne ne m’avait vu venir, à part la victime. La preuve, c’est que je suis toujours en liberté. »
C’est dans le hall d’un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite.
Le coupable désigné d’avance.
Il lui a suffi de parler. Et d’attendre que le piège se referme. C’est dans le hall d’un aéroport que tout s’est terminé.
De toute façon, le hasard n’existe pas.
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Auteur : Amélie Nothomb
ISBN : 978-2-253-15503-4
Nb.de pages : 120 pages
Dimensions : 11 cm x 17 cm
« Sans le vouloir, j’avais commis le crime parfait : personne ne m’avait vu venir, à part la victime. La preuve, c’est que je suis toujours en liberté. »
C’est dans le hall d’un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite.
Le coupable désigné d’avance.
Il lui a suffi de parler. Et d’attendre que le piège se referme. C’est dans le hall d’un aéroport que tout s’est terminé.
De toute façon, le hasard n’existe pas.
Imaginez une femme qui n'existe que pour un seul homme -Arthur. Lui seul peut la sentir, l'entendre, la voir... Imaginez Lauren, transparente, dont le corps est resté dans le coma quelque part à San Francisco ... Imaginez une histoire d'amour entre un homme et une apparition...
Comment dîner avec elle au restaurant ? Comment la présenter à ses amis sans passer pour un fou ? Comment l'aimer tout simplement ?
Arthur se laissera tenter pourtant. Embarqué dans cette incroyable aventure digne des plus beaux contes de fées
"Plonger au fond du gouffre, Enfer ou Ciel, qu'importe ?Au fond de l'inconnu, pour trouver du nouveau !"Ces vers du "Voyage" éclairent à eux seuls l'entreprise du poète. Esprit vagabond, toujours mobile, Baudelaire explore les dédales de la conscience. Il atteint tantôt à l'extase, tantôt se perd dans les abîmes du péché. À travers ses poèmes, il nous fait partager le drame qui se joue en lui et qui n'est autre que la tragédie humaine. Baudelaire, premier poète moderne, donne à la poésie sa véritable dimension : exprimer, par-delà les mots, ce vertige absolu qui s'empare de l'âme.
D'un séjour à Marrakech en 1953, Elias Canetti enregistre d'abord des voix, des bruits, des gestes et des images.
Et imperceptiblement, par le jeu d'une simple et grave précision dans la relation des faits, ce récit de voyage devient aussi, au sens le plus strict et le plus concret du terme, un récit philosophique...
Jacques le Fataliste et son maître est un roman de Denis Diderot, dialogue philosophique (entre Jacques et son maître) dont l'écriture s'étend de 1765 jusqu'à la mort de ce dernier en 1784. L'œuvre paraît initialement en feuilleton dans la Correspondance littéraire de Melchior Grimm entre 1778 et 1780.Elle a fait l'objet de nombreuses éditions posthumes, dont la première en France en 1796. Avant cette publication, Jacques le Fataliste sera connu en Allemagne grâce, notamment, aux traductions de Schiller (traduction partielle en 1785) et Mylius (1792).Ce roman complexe, déconcertant et déroutant[réf. nécessaire] par son mélange des genres, ses digressions et sa rupture de l'illusion romanesque – sans doute l'œuvre de Diderot la plus commentée – puise pour partie, (environ les deux tiers)
Andrew Stilman, grand reporter au New York Times mène l'enquête la plus importante de sa carrière. Au lendemain de son mariage, il est victime d'une agression et s'effondre, mortellement blessé, dans une mare de sang. Étrangement, il reprend connaissance, deux mois plus tôt. Revenu soixante jours en arrière, Andrew Stilman doit choisir entre mener à terme son enquête ou découvrir son assassin et déjouer le destin. De New York à Buenos Aires, le reporter se trouve précipité dans un engrenage vertigineux. S'engage alors une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu'au dénouement... à couper le souffle. " Un thriller haletant. " Le Parisien " Une large gamme d'émotions, de la passion, du suspense, de l'humour. " Le Figaro littéraire " À lire sans hésiter. " La Dépêche du Midi
Que peut-il arriver lorsque des sortilèges millénaires se conjuguent à une science moderne aussi performante que dépourvue d’éthique ? Au départ, il y a de mystérieuses fèves, réputées favoriser les naissances de garçons, trouvées par le narrateur sur un marché égyptien.
Puis c’est la raréfaction, un peu partout, des naissances féminines. Commence alors l’épopée d’un homme passionnément attaché à la « féminité du monde »…
Le romancier de Samarcande (prix des Maisons de la Presse 1988) et des Jardins de lumière, prix Goncourt 1993 pour Le Rocher de Tanios, nous conte ici avec tendresse et humour une fable sur la folie des hommes.
L'aventure personnelle de Yasmina Khadra vaut tous les romans. Dans les années 1990, son nom éclate dans l'univers du polar. Qui se cache derrière ce pseudonyme, qui signe ces intrigues violentes dans le contexte de la guerre civile algérienne ? Lorsqu'en 2001 il révèle sa véritable identité, Mohammed Moulessehoul, officier supérieur dans l'armée de son pays, il passe du rang d'auteur culte à celui de suspect.
L'Imposture des mots est le récit lucide et passionné de l'affrontement entre une conscience et une intelligentsia jamais en retard d'une imposture.
" Ce militaire défroqué est devenu, en quelques années, un des meilleurs écrivains de sa génération. " La Libre Belgique
Alger - fin des années 1980.
Parce que les islamistes qui recrutent dans l'énorme réservoir de jeunes gens vulnérables ont su lui donner le sentiment que sa vie peut avoir un sens ;
parce que la confusion mentale dans laquelle il est plongé l'a conduit à s'opposer à sa famille, à ses amis et à perdre tous ses repères ;
parce que la guerre civile qui oppose les militaires et les bandes armées islamistes est d'une violence incroyable, l'abominable est devenu concevable et il l'a commis.
" Comme toujours chez Yasmina Khadra, une efficace simplicité du style, et ce talent, à partir d'un lieu et de personnages très typés, de donner à son propos un caractère universel. "
Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi...
Ils envoient en mission leur deux meilleurs agents... Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes...
En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose...
Que l'ange et le démon se rencontreraient...
Marie a vingt-cinq ans. Un soir de fête, coup de foudre pour le beau Pablo, nuit d'amour et le lendemain... Elle se réveille à ses côtés, douze ans plus tard, mariée, mère de trois enfants, sans un seul souvenir de ces années écoulées. Comment faire pour donner le change à son entourage ? Et comment retrouver sa propre vie ? C'est avec une énergie virevoltante et un optimisme rafraîchissant que Frédérique Deghelt a écrit ce roman sur l'amour et le temps qui passe, sur les rêves des jeunes filles confrontés au quotidien et à la force des choix qui déterminent l'existence.Tout le long de cet étonnant roman à tiroirs, qui est aussi une enquête psy riche de secrets, l'auteure maintient son cap et tient la route jusqu'au bout. Chapeau. Tatiana de Rosnay, Psychologies.
Composé avant que l'Affaire des Placards d'octobre 1534 ne vienne mettre un terme à l'espoir de voir triompher les idées nouvelles, Gargantua est sans doute le plus " renaissant " des livres de notre douce renaissance.C'est le livre de tous les optimismes, celui où l'éclat de rire énorme de Rabelais liquide allégrement les Picrochole et les Jobelin bridé du vieux monde ; celui qui, grâce à Frère Jean, voit triompher l'utopie du bon prince et d'édifier l'abbaye de Thélème. C'est aussi le livre le plus personnel de Rabelais, sa version du temps retrouvé. Celui où l'écriture, haussée à la dignité d'un jeu, devient liberté.
Les femmes pressentent toujours ces choses-là. Lorsque Jocelyne Guerbette, mercière à Arras, découvre qu’elle peut désormais s’offrir tout ce qu’elle veut, elle se pose la question : n’y a-t-il pas beaucoup plus à perdre ? Grégoire Delacourt déroule ici une histoire forte d’amour et de hasard. Une histoire lumineuse aussi, qui nous invite à revisiter la liste de nos envies. Bientôt au cinéma, La Liste de mes envies a connu un succès international.
C'est un tableau disparu qui les fait se rencontrer, La Jeune Femme à la robe rouge.
Jonathan est expert en peinture, Clara est galeriste. Ils ne s'étaient jamais vus, n'habitent pas la même ville, et pourtant... entre ces deux passionnés d'art, s'installe un trouble étrange, comme s'ils se connaissaient déjà. Ils sont convaincus de s'être déjà croisés. Mais où et quand ? À Londres, il y a plus d'un siècle ?
«La guerre de Troie n'aura pas lieu», dit Andromaque quand le rideau s'ouvre sur la terrasse du palais de Priam.
Pâris n'aime plus Hélène et Hélène a perdu le goût de Pâris, mais Troie ne rendra pas la captive car pour tous les hommes de la ville «il n'y a plus que le pas d'Hélène, la coudée d'Hélène, la portée du regard ou de la voix d'Hélène », et les augures eux-mêmes refusent de la laisser partir.
Hector, pour Troie, et Ulysse, pour la Grèce, tentent à tout prix de sauver la paix. Mais la guerre est l'affaire de la Fatalité et non de la volonté des hommes.
L'auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l'Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l'a conduite la carrière d'un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d'un accomplissement inaccessible, qui explique autant l'histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d'une nourrice japonaise, d'une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l'humour noir et la provocation.
"La faim, c'est moi."
Il se faisait appeler Turambo, du nom de son village natal. Il avait pour lui sa candeur désarmante et un direct du gauche foudroyant. Il connut la gloire, l'argent et la fièvre des rings, mais aucun trophée ne faisait frémir son âme mieux que le regard d'une femme. De Nora à Louise, d'Aïda à Irène, il cherchait un sens à sa vie. Mais dans un monde où la cupidité règne en maître absolu, l'amour se met parfois en grand danger.
Une splendide évocation de l'Algérie de l'entre-deux-guerres, où Yasmina Khadra met en scène, plus qu'une éducation sentimentale, le parcours obstiné d'un jeune prodige adulé par les foules.