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D'un séjour à Marrakech en 1953, Elias Canetti enregistre d'abord des voix, des bruits, des gestes et des images.
Et imperceptiblement, par le jeu d'une simple et grave précision dans la relation des faits, ce récit de voyage devient aussi, au sens le plus strict et le plus concret du terme, un récit philosophique...
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Auteur : Elias Canetti
ISBN : 978-2-253-03928-0
Nb.de pages : 121 pages
Dimensions : 11 cm 17.6 cm 1 cm
D'un séjour à Marrakech en 1953, Elias Canetti enregistre d'abord des voix, des bruits, des gestes et des images.
Et imperceptiblement, par le jeu d'une simple et grave précision dans la relation des faits, ce récit de voyage devient aussi, au sens le plus strict et le plus concret du terme, un récit philosophique...
Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi...
Ils envoient en mission leur deux meilleurs agents... Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes...
En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose...
Que l'ange et le démon se rencontreraient...
« Sans le vouloir, j’avais commis le crime parfait : personne ne m’avait vu venir, à part la victime. La preuve, c’est que je suis toujours en liberté. »
C’est dans le hall d’un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite.
Le coupable désigné d’avance.
Il lui a suffi de parler. Et d’attendre que le piège se referme. C’est dans le hall d’un aéroport que tout s’est terminé.
De toute façon, le hasard n’existe pas.
Que peut-il arriver lorsque des sortilèges millénaires se conjuguent à une science moderne aussi performante que dépourvue d’éthique ? Au départ, il y a de mystérieuses fèves, réputées favoriser les naissances de garçons, trouvées par le narrateur sur un marché égyptien.
Puis c’est la raréfaction, un peu partout, des naissances féminines. Commence alors l’épopée d’un homme passionnément attaché à la « féminité du monde »…
Le romancier de Samarcande (prix des Maisons de la Presse 1988) et des Jardins de lumière, prix Goncourt 1993 pour Le Rocher de Tanios, nous conte ici avec tendresse et humour une fable sur la folie des hommes.
Paulo Coelho Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré Une histoire d'amour renferme tous les secrets du monde. Pilar et son compagnon se sont connus dans l'enfance, éloignés au cours de leur adolescence, et voici qu'ils se retrouvent onze ans plus tard. Elle, une femme à qui la vie a appris à être forte et à ne pas se laisser déborder par ses sentiments. Lui, un homme qui possède le don de guérir les autres et cherche dans la religion une solution à ses conflits intérieurs.
Tous deux sont unis par le désir de changer et de poursuivre leurs rêves.
"La première fois que je me vis dans un miroir, je ris : je ne croyais pas que c’était moi. A présent, quand je regarde mon reflet, je ris : je sais que c’est moi. Et tant de hideur a quelque chose de drôle."
Devenu la star – paradoxale – d’une agence de top models, Epiphane sera tour à tour martyr et bourreau, ambassadeur de la monstruosité internationale… et amoureux de la divine Ethel, une jeune comédienne émue par sa hideur.
Composé avant que l'Affaire des Placards d'octobre 1534 ne vienne mettre un terme à l'espoir de voir triompher les idées nouvelles, Gargantua est sans doute le plus " renaissant " des livres de notre douce renaissance.C'est le livre de tous les optimismes, celui où l'éclat de rire énorme de Rabelais liquide allégrement les Picrochole et les Jobelin bridé du vieux monde ; celui qui, grâce à Frère Jean, voit triompher l'utopie du bon prince et d'édifier l'abbaye de Thélème. C'est aussi le livre le plus personnel de Rabelais, sa version du temps retrouvé. Celui où l'écriture, haussée à la dignité d'un jeu, devient liberté.
Saviez-vous qu’un pays communiste, c’est un pays où il y a des ventilateurs ? Qu’un vélo est en réalité un cheval ?
Vous l’apprendrez, et bien d’autres choses encore, dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d’amour authentique.
Un sabotage amoureux : sabotage, comme sous les sabots d’un cheval qui est un vélo…
L'auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l'Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l'a conduite la carrière d'un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d'un accomplissement inaccessible, qui explique autant l'histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d'une nourrice japonaise, d'une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l'humour noir et la provocation.
"La faim, c'est moi."
Les femmes pressentent toujours ces choses-là. Lorsque Jocelyne Guerbette, mercière à Arras, découvre qu’elle peut désormais s’offrir tout ce qu’elle veut, elle se pose la question : n’y a-t-il pas beaucoup plus à perdre ? Grégoire Delacourt déroule ici une histoire forte d’amour et de hasard. Une histoire lumineuse aussi, qui nous invite à revisiter la liste de nos envies. Bientôt au cinéma, La Liste de mes envies a connu un succès international.
Ghachimat est un village de l'Algérie d'aujourd'hui : on se connaît depuis l'enfance, on se jalouse et on se jauge. On s'affronte en secret pour obtenir la main d'une jeune fille. On déteste ceux qui ont réussi, on méprise ceux qui sont restés dans la misère. On étouffe sous le joug d'une tradition obsolète.
Il suffit du retour au pays d'un enfant fanatisé, pour que les habitants de Ghachimat basculent dans le crime collectif, portés par le ressentiment et la rancœur.
Et c'est ainsi que des garçons bien tranquilles deviennent des tueurs en série...
Dans les ruines brûlantes de la cité millénaire de Kaboul, la mort rôde, un turban noir autour du crâne. Ici, une lapidation de femme, là des exécutions publiques, les Taliban veillent. La joie et le rire sont suspects. Atiq, le courageux moudjahid reconverti en geôlier, traîne sa peine. Le goût de vivre a également abandonné Mohsen, qui rêvait de modernité. Son épouse Zunaira, avocate, plus belle que le ciel, est désormais condamnée à l'obscurité grillagée du tchadri. Alors Kaboul, que la folie guette, n'a plus d'autres histoires à offrir que des tragédies. Le printemps des hirondelles semble bien loin encore...
Kafr Karam. Un petit village aux confins du désert irakien. On y débat devant la télévision, on s'y ennuie, on attend, loin de la guerre que viennent de déclencher les Occidentaux. Mais le conflit va finir par rattraper cette région où la foi, la tradition et l'honneur ne sont pas des mots vides de sens. Quand une nouvelle humiliation vient profaner ce qu'un Bédouin a de plus sacré, alors s'ouvre le temps de la colère et de la riposte. Seul le sang pourra laver ce qui a été souillé...
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et du Joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
"Le voyageur songe à sa propre vie. Comme toute existence, elle est faite des fragments de tout ce qui lui est arrivé : les situations qu'il a vécues, des extraits de livres qu'il n'a pas oubliés, les enseignements de son maître, des histoires que lui ont contées un jour ses amis, des réflexions sur son époque et sur les rêves de sa génération... Et il s'efforce de comprendre sa propre construction spirituelle."
Recueil de paraboles inspirées à l'auteur par les sources et les folklores les plus divers, Maktub représente un trésor coloré de sagesse.
«La guerre de Troie n'aura pas lieu», dit Andromaque quand le rideau s'ouvre sur la terrasse du palais de Priam.
Pâris n'aime plus Hélène et Hélène a perdu le goût de Pâris, mais Troie ne rendra pas la captive car pour tous les hommes de la ville «il n'y a plus que le pas d'Hélène, la coudée d'Hélène, la portée du regard ou de la voix d'Hélène », et les augures eux-mêmes refusent de la laisser partir.
Hector, pour Troie, et Ulysse, pour la Grèce, tentent à tout prix de sauver la paix. Mais la guerre est l'affaire de la Fatalité et non de la volonté des hommes.
Alger - fin des années 1980.
Parce que les islamistes qui recrutent dans l'énorme réservoir de jeunes gens vulnérables ont su lui donner le sentiment que sa vie peut avoir un sens ;
parce que la confusion mentale dans laquelle il est plongé l'a conduit à s'opposer à sa famille, à ses amis et à perdre tous ses repères ;
parce que la guerre civile qui oppose les militaires et les bandes armées islamistes est d'une violence incroyable, l'abominable est devenu concevable et il l'a commis.
" Comme toujours chez Yasmina Khadra, une efficace simplicité du style, et ce talent, à partir d'un lieu et de personnages très typés, de donner à son propos un caractère universel. "