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D'un séjour à Marrakech en 1953, Elias Canetti enregistre d'abord des voix, des bruits, des gestes et des images.
Et imperceptiblement, par le jeu d'une simple et grave précision dans la relation des faits, ce récit de voyage devient aussi, au sens le plus strict et le plus concret du terme, un récit philosophique...
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Auteur : Elias Canetti
ISBN : 978-2-253-03928-0
Nb.de pages : 121 pages
Dimensions : 11 cm 17.6 cm 1 cm
D'un séjour à Marrakech en 1953, Elias Canetti enregistre d'abord des voix, des bruits, des gestes et des images.
Et imperceptiblement, par le jeu d'une simple et grave précision dans la relation des faits, ce récit de voyage devient aussi, au sens le plus strict et le plus concret du terme, un récit philosophique...
Pour mettre un terme à leur éternelle rivalité, Dieu et Lucifer se sont lancé un ultime défi...
Ils envoient en mission leur deux meilleurs agents... Lucas et Zofia auront sept jours sur terre pour faire triompher leur camp, décidant ainsi qui du Bien ou du Mal gouvernera les hommes...
En organisant ce pari absurde, Dieu et Lucifer avaient tout prévu, sauf une chose...
Que l'ange et le démon se rencontreraient...
Doria a quinze ans, un sens aigu de la vanne, une connaissance encyclopédique de la télé et des rêves qui la réveillent. Elle vit seule avec sa mère dans une cité de Livry-Gargan, depuis que son père est parti un matin pour trouver au Maroc une femme plus jeune et plus féconde. Ça, chez Doria, ça s’appelle le mektoub, le destin : « Ça veut dire que, quoique tu fasses, tu te feras couiller. » Alors autant profiter du présent avec ceux qui l’aiment ou font semblant.
Sa mère d’abord, femme de ménage dans un Formule 1 de Bagnoletet soleil dans sa vie. Son pote Hamoudi, qui l’a connue alors qu’elle était « haute comme une barrette de shit ».
Kiffe kiffe demain est d’abord une voix, celle d’une enfant des quartiers.
Un roman plein de sève, d’humour et de vie.
L'aventure personnelle de Yasmina Khadra vaut tous les romans. Dans les années 1990, son nom éclate dans l'univers du polar. Qui se cache derrière ce pseudonyme, qui signe ces intrigues violentes dans le contexte de la guerre civile algérienne ? Lorsqu'en 2001 il révèle sa véritable identité, Mohammed Moulessehoul, officier supérieur dans l'armée de son pays, il passe du rang d'auteur culte à celui de suspect.
L'Imposture des mots est le récit lucide et passionné de l'affrontement entre une conscience et une intelligentsia jamais en retard d'une imposture.
" Ce militaire défroqué est devenu, en quelques années, un des meilleurs écrivains de sa génération. " La Libre Belgique
« A cette époque, ma quête spirituelle était liée à l’idée qu’il existait des secrets, des chemins mystérieux… Je croyais que ce qui est difficile et compliqué mène toujours à la compréhension du mystère et de la vie… »
Lorsque, en 1986, Paulo Coelho entreprend le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, il ne sait pas encore que de ce voyage il reviendra transformé.
A son image, le héros de ce récit a péché par orgueil. Au terme d’un parcours jalonné d’épreuves, il comprendra enfin que l’extraordinaire se trouve sur le chemin des gens ordinaires, que la vérité est pour tous les hommes.
L'auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l'Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l'a conduite la carrière d'un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d'un accomplissement inaccessible, qui explique autant l'histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d'une nourrice japonaise, d'une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l'humour noir et la provocation.
"La faim, c'est moi."
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et du Joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Dans les ruines brûlantes de la cité millénaire de Kaboul, la mort rôde, un turban noir autour du crâne. Ici, une lapidation de femme, là des exécutions publiques, les Taliban veillent. La joie et le rire sont suspects. Atiq, le courageux moudjahid reconverti en geôlier, traîne sa peine. Le goût de vivre a également abandonné Mohsen, qui rêvait de modernité. Son épouse Zunaira, avocate, plus belle que le ciel, est désormais condamnée à l'obscurité grillagée du tchadri. Alors Kaboul, que la folie guette, n'a plus d'autres histoires à offrir que des tragédies. Le printemps des hirondelles semble bien loin encore...
« Sans le vouloir, j’avais commis le crime parfait : personne ne m’avait vu venir, à part la victime. La preuve, c’est que je suis toujours en liberté. »
C’est dans le hall d’un aéroport que tout a commencé. Il savait que ce serait lui. La victime parfaite.
Le coupable désigné d’avance.
Il lui a suffi de parler. Et d’attendre que le piège se referme. C’est dans le hall d’un aéroport que tout s’est terminé.
De toute façon, le hasard n’existe pas.
Ghachimat est un village de l'Algérie d'aujourd'hui : on se connaît depuis l'enfance, on se jalouse et on se jauge. On s'affronte en secret pour obtenir la main d'une jeune fille. On déteste ceux qui ont réussi, on méprise ceux qui sont restés dans la misère. On étouffe sous le joug d'une tradition obsolète.
Il suffit du retour au pays d'un enfant fanatisé, pour que les habitants de Ghachimat basculent dans le crime collectif, portés par le ressentiment et la rancœur.
Et c'est ainsi que des garçons bien tranquilles deviennent des tueurs en série...
À la fin du xixe siècle, par un froid dimanche de novembre, un garçon de quinze ans, François Seurel, qui habite auprès de ses parents instituteurs une longue maison rouge –l’école du village–, attend la venue d’Augustin que sa mère a décidé de mettre ici en pension pour qu’il suive le cours supérieur: l’arrivée du grand Meaulnes à Sainte-Agathe va bouleverser l’enfance finissante de François…
"La première fois que je me vis dans un miroir, je ris : je ne croyais pas que c’était moi. A présent, quand je regarde mon reflet, je ris : je sais que c’est moi. Et tant de hideur a quelque chose de drôle."
Devenu la star – paradoxale – d’une agence de top models, Epiphane sera tour à tour martyr et bourreau, ambassadeur de la monstruosité internationale… et amoureux de la divine Ethel, une jeune comédienne émue par sa hideur.
Kafr Karam. Un petit village aux confins du désert irakien. On y débat devant la télévision, on s'y ennuie, on attend, loin de la guerre que viennent de déclencher les Occidentaux. Mais le conflit va finir par rattraper cette région où la foi, la tradition et l'honneur ne sont pas des mots vides de sens. Quand une nouvelle humiliation vient profaner ce qu'un Bédouin a de plus sacré, alors s'ouvre le temps de la colère et de la riposte. Seul le sang pourra laver ce qui a été souillé...
« Le fait du prince » Un homme vole l’identité d’un inconnu. « Il y a un instant , entre la 15ème et la 16eme gorgée de champagne où tout homme est un aristocrate ».
Que peut-il arriver lorsque des sortilèges millénaires se conjuguent à une science moderne aussi performante que dépourvue d’éthique ? Au départ, il y a de mystérieuses fèves, réputées favoriser les naissances de garçons, trouvées par le narrateur sur un marché égyptien.
Puis c’est la raréfaction, un peu partout, des naissances féminines. Commence alors l’épopée d’un homme passionnément attaché à la « féminité du monde »…
Le romancier de Samarcande (prix des Maisons de la Presse 1988) et des Jardins de lumière, prix Goncourt 1993 pour Le Rocher de Tanios, nous conte ici avec tendresse et humour une fable sur la folie des hommes.
Marie a vingt-cinq ans. Un soir de fête, coup de foudre pour le beau Pablo, nuit d'amour et le lendemain... Elle se réveille à ses côtés, douze ans plus tard, mariée, mère de trois enfants, sans un seul souvenir de ces années écoulées. Comment faire pour donner le change à son entourage ? Et comment retrouver sa propre vie ? C'est avec une énergie virevoltante et un optimisme rafraîchissant que Frédérique Deghelt a écrit ce roman sur l'amour et le temps qui passe, sur les rêves des jeunes filles confrontés au quotidien et à la force des choix qui déterminent l'existence.Tout le long de cet étonnant roman à tiroirs, qui est aussi une enquête psy riche de secrets, l'auteure maintient son cap et tient la route jusqu'au bout. Chapeau. Tatiana de Rosnay, Psychologies.
«La guerre de Troie n'aura pas lieu», dit Andromaque quand le rideau s'ouvre sur la terrasse du palais de Priam.
Pâris n'aime plus Hélène et Hélène a perdu le goût de Pâris, mais Troie ne rendra pas la captive car pour tous les hommes de la ville «il n'y a plus que le pas d'Hélène, la coudée d'Hélène, la portée du regard ou de la voix d'Hélène », et les augures eux-mêmes refusent de la laisser partir.
Hector, pour Troie, et Ulysse, pour la Grèce, tentent à tout prix de sauver la paix. Mais la guerre est l'affaire de la Fatalité et non de la volonté des hommes.