- Nouveau

Référence:
Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
Politique de sécurité
Politique de livraison
Politique de retour
Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
Le Dictionnaire COLIN d’arabe dialectal marocain, sous la direction de Zakia Iraqui Sinaceur. Institut d’études et de recherches pour l’arabisation (Rabat), en collaboration avec le CNRS (Paris). Éditions Al-Manahil, ministère des Affaires culturelles [Rabat], 1993
VERSION ORIGINAL
La convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel La transmission et ses écueils sur la place Jemaa El-fna Marrakech Savoirs et savoir faire amazighs manuscrits et tapis Culture technique et musée ; la fabrique du sens . Coins inférieurs droit écorné Très bon état général
176 pages et 228 photos pour un voyage dans le temps et l'espace en pays berbère, au coeur du Géoparc du M'Goun et au delà. Hauts plateaux, hautes montagnes dont le M'Goun culminant à plus de 4000 m, composent les reliefs du Moyen Atlas sud et du Haut Atlas central. Certains sites naturels sont absolument remarquables. Les paysages sont splendides, grandioses même. Issue du passé berbère (amazigh) plusieurs fois millénaire, l'architecture est originale, hardie. Le dépaysement est total.
Est-il plus belle architecture de terre au monde que celle du Maroc ? Si la découverte des pueblos des Indiens Anasazis et Hopis du Nouveau Mexique et d’Arizona fut à l’origine de notre passion pour les architectures bâties en terre seule, ce sont les ksour et les kasbas des vallées du Drâa et du Dades, dans le Sud marocain, qui ont confirmé un engagement durable en faveur d’une renaissance de la construction en terre pour l’habitat, et de la conservation des patrimoines architecturaux, archéologiques et historiques en terre crue.
Situé au croisement d’une civilisation des signes et d’une civilisation de l’image, l’art contemporain arabe porte en lui les traces indéniables d’une phase de transition. Mais comment les artistes arabes d’aujourd’hui ont-ils orienté leur quête pour se réapproprier les sources multiples héritées du passé en les faisant jouer avec toutes les formes de la modernité ? Comment ces artistes se sont-ils nourris de l’œuvre des peintres occidentaux de ce siècle, notamment de ceux qui ont tiré parti de leur rencontre émerveillée avec l’Orient, avec sa terre, sa lumière, comme Paul Klee ou Matisse ? Comment le regard de ces peintres, a-t-il renouvelé le leur ?
Il y a deux Marrakech : la première, la capitale, géométrique et secrètement orientée, la cité idéale qu’avait rêvée son prince ; et l’autre qui l’a recouverte, la ville foisonnante et colorée, travestie en labyrinthe pour les voyageurs déboussolés. L’ordre caché de la ville, pourtant, l’étoile invisible tracée puis effacée par les siècles, brille encore. Son reflet joue dans le temps, par les mille facettes des mosaïques et des coupoles, dans la géométrie des plafonds de cèdre, rouges et or, dans l’eau des bassins, des fontaines, et le tapis d’éden, sans cesse renoué de ses maisons-jardins.
Dans le Sud marocain, la peur des lendemains jointe à la crainte d’une attaque surprise, ont, jadis, rendu les communautés solidaires devant le danger. Les greniers collectifs, de véritables citadelles inexpugnables, servaient à protéger le grain et assurer, la vie du groupe. L’auteur a arpenté les vallées présahariennes pendant près de dix ans, visité près de 200 greniers enquêtant auprès des anciens, relevant les édifices, interrogeant la vitalité des pratiques conservatoires. De multiples entretiens ont questionné la mémoire et l’oubli pour finalement esquisser ce qui fait l’identité des communautés berbères de l’Atlas à travers un patrimoine architectural* particulièrement riche d’histoire et de mythes. Architectures classées au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
"Ce livre est un merveilleux hommage { l’âme de Fès, une porte ouverte sur le dialogue des cultures et des religions, un message d’ouverture, de tolérance, d’universalité. Il est un témoignage de ce souffle musical unique qui traverse la ville durant une semaine. Un hommage aussi aux grands artistes qui ont partagé des instants magiques avec les Festivaliers. De Paco de Lucia { Ravi Shankar, de Joan Baez { Youssou N’Dour… Faouzi Skali, qui oeuvre depuis des années au succès de ce festival, nous entraîne au coeur de cette aventure humaine, de ce brassage des cultures du monde, sur des chemins emprunts d’émotion suscitée par la musique.
Les qualités du cuir travaillé au Maroc lui ont conféré une très large renommée qui a imprimé durablement sa marque dans la langue française : la maroquinerie désigne encore de nos jours l’industrie des cuirs fins. A Fès, à Marrakech, à Tétouan, les artisans ont conservé des procédés immémoriaux de tannage, qui étaient les seuls connus en Occident à la fin du XIXe siècle et qu’on découvre ici avec surprise.
Fès, ville impériale et spirituelle, ancienne capitale du Maroc, nous dévoile ses 12 siècles de sa fabuleuse histoire.
237 photographies pour en découvrir toutes les facettes, tous ses trésors : remparts, portes (bab), mausolées, mosquées, médersas (écoles coraniques), artisanat d'art, dinanderies, tanneries, métiers traditionnels, ruelles et boutiques, nous révèlent, dans toute sa diversité, le riche passé et toute la beauté de la plus belle médina du royaume marocain.
a céramique ancienne de Fés : Entre esthétisme et spiritualité
" Beau livre petit format. Fatema Mernissi reprend « Les 50 noms de l'amour : Le Jardin des amoureux », d'al-imam Ibn Qayyim al-jawziyya du 14e sièle et les commente en les actualisant. Le texte original est traduit en français, et les commentaires en français de Fatema Mernissi sont traduits en arabe. Le livre est agrémenté par des créations calligraphiques de Mohamed Idali pour chacun des 50 noms de l'amour. "
À 30 ans, Gabriel Veyre abandonne son métier d’opérateur du cinématographe pour les frères Lumière et part au Maroc initier le jeune sultan Moulay Abd El-Aziz aux mystères de la chambre noire. Témoin privilégié de la vie animée de la cour. Gabriel Veyre photographie sans relâche l’intimité du palais, mais aussi les scènes de vie quotidienne dans les ruelles de Marrakech.
le Maroc à contre-jour ", composé de photographies et de textes littéraires de Pierre Loti (1889) à Myriam Jebbor (2006), est une promenade poétique originale à travers le temps et l'espace. Jean-Claude Laffitte, artiste photographe, a promené sa caméra, près de 15 année durant, dans l'intimité profonde de ce pays avec le désir d'offrir une vision personnelle, empreinte de mystère, de sensualité, de rêverie..
It was through her in-laws, the Majorelles, that Chantal Destrez (1940-2016) discovered the artistic work of Jacques Majorelle. She spent over forty years reading and archiving correspondence among cousins, photograph albums and other private source material, which resulted in the first major study of the life and work of Jacques Majorelle. An authority on Jacques Majorelle, her opinion was often sought on the painter’s oeuvre. Given that Jacques Majorelle’s name is internationally renowned today, one can unequivocally say that Chantal Destrez achieved her dream of giving the painter the attention and place in art history he deserves