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Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
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Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
Beau livre très riche en illustrations. Une belle recherche sur l'histoire du patrimoine architectural de la plus grande métropole du Maroc.
À 30 ans, Gabriel Veyre abandonne son métier d’opérateur du cinématographe pour les frères Lumière et part au Maroc initier le jeune sultan Moulay Abd El-Aziz aux mystères de la chambre noire. Témoin privilégié de la vie animée de la cour. Gabriel Veyre photographie sans relâche l’intimité du palais, mais aussi les scènes de vie quotidienne dans les ruelles de Marrakech.
Dans le Sud marocain, la peur des lendemains jointe à la crainte d’une attaque surprise, ont, jadis, rendu les communautés solidaires devant le danger. Les greniers collectifs, de véritables citadelles inexpugnables, servaient à protéger le grain et assurer, la vie du groupe. L’auteur a arpenté les vallées présahariennes pendant près de dix ans, visité près de 200 greniers enquêtant auprès des anciens, relevant les édifices, interrogeant la vitalité des pratiques conservatoires. De multiples entretiens ont questionné la mémoire et l’oubli pour finalement esquisser ce qui fait l’identité des communautés berbères de l’Atlas à travers un patrimoine architectural* particulièrement riche d’histoire et de mythes. Architectures classées au Patrimoine mondial de l’UNESCO.
"Dans vivre Marrakech , nous parcourons la ville à travers leurs textes, guidés par cette sensibilité locale et empathique. L'histoire de la cité est restituée à grands traits avec une attention particulière pour l'occupation de l'espace. L'enveloppe que constituent les remparts avec leurs portes est finement décrite autant que les souks et les riads qui connaissent ces dernières temps un engouement sans précèdent. Les jardins et les vergers, si vitaux pour la ville et si enracinés dans son histoire, sont présentés avec un regard à la fois savant et critique.
Est-il plus belle architecture de terre au monde que celle du Maroc ? Si la découverte des pueblos des Indiens Anasazis et Hopis du Nouveau Mexique et d’Arizona fut à l’origine de notre passion pour les architectures bâties en terre seule, ce sont les ksour et les kasbas des vallées du Drâa et du Dades, dans le Sud marocain, qui ont confirmé un engagement durable en faveur d’une renaissance de la construction en terre pour l’habitat, et de la conservation des patrimoines architecturaux, archéologiques et historiques en terre crue.
"Lieu privilégié, espace de révélation particulière de l’être, terre féconde, matrice nourrissant dans le secret et le mystère la flamme infinie de la poésie. […] Comment exprimer le ravissement, la splendeur de cette lumière, ce poudroiement des dunes, ces dents rocheuses entaillées dans l’éternité et là, à l’horizon, tel un monstre endormi, les îles pourpres veillant, barrant l’entrée de la baie ? À cette question que pose Edmond Amran El Maleh en introduction, trois auteurs natives d’Essaouira répondent ici par des mots et des images
Ce splendide ouvrage qui vient de paraître aux éditions Malika allie la poésie des photographies d’Hervé Nègre à la qualité littéraire et ethnologique du texte de Claire Cécile Mitarte. Cette étude érudite sur les drapés des femmes maures, réalisée à l'initiative de l'Agence du Sud, entraîne le lecteur dans un passionnant voyage : « Tout au long de la côte atlantique du Sahara, depuis les contreforts de l’Atlas jusqu’aux rives du fleuve Sénégal, les femmes se drapent d’une même mesure d’étoffe qu’elles agencent d’un semblable mouvement. La Melhfa , dont le radical arabe signifie « couvrir », « envelopper », s’enroule autour du corps pour être nouée aux épaules avant de recouvrir les cheveux, l’extrémité du tissu étant rejetée en arrière par-dessus l’épaule gauche ».
le Maroc à contre-jour ", composé de photographies et de textes littéraires de Pierre Loti (1889) à Myriam Jebbor (2006), est une promenade poétique originale à travers le temps et l'espace. Jean-Claude Laffitte, artiste photographe, a promené sa caméra, près de 15 année durant, dans l'intimité profonde de ce pays avec le désir d'offrir une vision personnelle, empreinte de mystère, de sensualité, de rêverie..
Apres Le Maroc a Contre Jour (2006), Jean-Claude Laffitte poursuit dans ce second album, Au Royaume de l'Ombre, une quete photographique enrichie de nouveaux textes d'ecrivains du Maroc meles a des regards croises sur la peinture marocaine contemporaine. Un espace imaginaire qui a pour cadre un Royaume propice a la reverie et a la grace melancolique. Une vision d'auteur, melangeant realisme du sujet et abstraction des formes. Un dialogue litteraire en contre-point d'images conçues tant avec la camera que par ordinateur. Les photographies artistiques de Jean-Claude Laffitte sont le resultat d'un mixage esthetique singulier, revendiquant une liberte entiere du regard.
Il y a deux Marrakech : la première, la capitale, géométrique et secrètement orientée, la cité idéale qu’avait rêvée son prince ; et l’autre qui l’a recouverte, la ville foisonnante et colorée, travestie en labyrinthe pour les voyageurs déboussolés. L’ordre caché de la ville, pourtant, l’étoile invisible tracée puis effacée par les siècles, brille encore. Son reflet joue dans le temps, par les mille facettes des mosaïques et des coupoles, dans la géométrie des plafonds de cèdre, rouges et or, dans l’eau des bassins, des fontaines, et le tapis d’éden, sans cesse renoué de ses maisons-jardins.
160 photos pour pénétrer en toute intimité au coeur même de cette si surprenante médina où l'enchantement et l'irréel se mêlent. Les innombrables fontaines où l'on s'abreuve, les maisons à l'aspect simple et modeste, les portes cloutées enchâssées dans des ouvertures aux angles arrondis, tout cela teinté de bleu, contribue à donner l'illusion que nous serions dans un village de poupées. La cité ne dévoile ses secrets qu'avec parcimonie pour peu qu'on l'écoute en prenant son temps.
" Beau livre petit format. Fatema Mernissi reprend « Les 50 noms de l'amour : Le Jardin des amoureux », d'al-imam Ibn Qayyim al-jawziyya du 14e sièle et les commente en les actualisant. Le texte original est traduit en français, et les commentaires en français de Fatema Mernissi sont traduits en arabe. Le livre est agrémenté par des créations calligraphiques de Mohamed Idali pour chacun des 50 noms de l'amour. "
La convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel et immatériel La transmission et ses écueils sur la place Jemaa El-fna Marrakech Savoirs et savoir faire amazighs manuscrits et tapis Culture technique et musée ; la fabrique du sens . Coins inférieurs droit écorné Très bon état général
208 photographies pour une visite complète de la médina de Meknès, de cette magnifique cité impériale au cœur du Saïs : monuments historiques aux maints détails, mosquées, médersa, palais, fontaines, places, ruelles, bâbs (portes), remparts, fantasia auxquels il faut ajouter quelques clichés de la “ville nouvelle (Hamria)”. Au printemps la plaine du Saïs déploie toute sa gamme de couleurs aux contrastes forts.
Avec son appareil photo Mr Bel colombo a parcouru, de très nombreuses fois, la médina et le Saïs et dans un esprit de partage, nous en fait découvrir toute la beauté.
Photothèque exceptionnelle sur le Maroc. Un parcours de Tanger au Rif, de Rabat à Marrakech, et du haut de l'Atlas à Ouarzazate, sans oublier les oasis du Sud. L'ouvrage rend compte des architectures marocaines aussi bien que des paysages insolites des villes. Avec un tirage signé par les photographes.