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Beau livre riche en illustrations sur la recherche archéologique de la région d'Es Smara
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Beau livre riche en illustrations sur la recherche archéologique de la région d'Es Smara
Beau livre riche en illustrations sur la recherche archéologique de la région d'Es Smara
" Beau livre petit format. Fatema Mernissi reprend « Les 50 noms de l'amour : Le Jardin des amoureux », d'al-imam Ibn Qayyim al-jawziyya du 14e sièle et les commente en les actualisant. Le texte original est traduit en français, et les commentaires en français de Fatema Mernissi sont traduits en arabe. Le livre est agrémenté par des créations calligraphiques de Mohamed Idali pour chacun des 50 noms de l'amour. "
Les qualités du cuir travaillé au Maroc lui ont conféré une très large renommée qui a imprimé durablement sa marque dans la langue française : la maroquinerie désigne encore de nos jours l’industrie des cuirs fins. A Fès, à Marrakech, à Tétouan, les artisans ont conservé des procédés immémoriaux de tannage, qui étaient les seuls connus en Occident à la fin du XIXe siècle et qu’on découvre ici avec surprise.
Un livre d’art, une mémoire plastique nationale, une anthologie picturale, un patrimoine universel, un véritable musée ambulant, l’un des plus grand et des plus riches livres musées du monde, où se rencontrent quelques 400 artistes peintres mondialement connus, ainsi que plusieurs centaines de toiles qui font le bonheur des plus grands musées du monde. Un seul objectif : immortaliser les valeurs de paix, de tolérance et de coexistence pacifique sur une terre hospitalière et pérenniser la beauté et les charmes d’un merveilleux pays.
"Récemment publié par la maison d'édition (Malika) livre «thé dans le désert du Maroc .. originalité étrange», l'auteur Ahmed Bashir sécurité, qui a été reproduit avec l'appui de la reprise de l'agence et le développement économique et social dans les régions du sud de la France, dans le cadre d'une série «Date et communautés désert Maroc» . En présentant le livre, qui se trouve dans les 204 pages de grande taille, a écrit le professeur Abdul Haq Marini, historien-Uni et le gouverneur de la tombe de Mohammed V, que ce livre illustrateur «L'anneau anneaux brillants études précieuses sur l'étiquette de thé et Ahtphalyate au Maroc, en particulier dans les domaines du désert, comme le thé ont habitants amusants et leurs sens de l'ouïe et de la vue et le goût tatouage ».
"Essaouira, autrefois «Mogador», une ville marocaine de la côte atlantique placée sous le signe du vent et de la lumière. Au XVIIIe siècle, cité prospère abritant musulmans, juifs et chrétiens sous la protection du Sultan Sidi Mohamed Ben Abdellah, elle a conservé de sa grandeur d'alors sa beauté éclatante. Ville touchée par la grâce, elle est aujourd'hui en pleine renaissance. Ceux qui sont nés à Essaouira et l'ont quittée, rêvent de retrouver la médina ceinte de remparts et la sqala d'où l'on contemple la mer.
Edmond Brion et Auguste Cadet ont contribué de manière essentielle à une nouvelle esthétique architecturale, et fait preuve d’une interprétation totalement nouvelle dans leur confrontation à la tradition architecturale du Maroc. Gislhaine Meffre, petite-fille d’Edmond Brion et passionnée d’architecture, apporte un argument de valeur en faveur de la sauvegarde et de la réhabilitation du patrimoine architectural marocain du XXe siècle.
"Lieu privilégié, espace de révélation particulière de l’être, terre féconde, matrice nourrissant dans le secret et le mystère la flamme infinie de la poésie. […] Comment exprimer le ravissement, la splendeur de cette lumière, ce poudroiement des dunes, ces dents rocheuses entaillées dans l’éternité et là, à l’horizon, tel un monstre endormi, les îles pourpres veillant, barrant l’entrée de la baie ? À cette question que pose Edmond Amran El Maleh en introduction, trois auteurs natives d’Essaouira répondent ici par des mots et des images
Ce beau livre décrit et rend hommages aux chevaliers du maroc par une réalisation d'une série de photos sur la coutume de la fantasia.
Situé au croisement d’une civilisation des signes et d’une civilisation de l’image, l’art contemporain arabe porte en lui les traces indéniables d’une phase de transition. Mais comment les artistes arabes d’aujourd’hui ont-ils orienté leur quête pour se réapproprier les sources multiples héritées du passé en les faisant jouer avec toutes les formes de la modernité ? Comment ces artistes se sont-ils nourris de l’œuvre des peintres occidentaux de ce siècle, notamment de ceux qui ont tiré parti de leur rencontre émerveillée avec l’Orient, avec sa terre, sa lumière, comme Paul Klee ou Matisse ? Comment le regard de ces peintres, a-t-il renouvelé le leur ?
Le Dictionnaire COLIN d’arabe dialectal marocain, sous la direction de Zakia Iraqui Sinaceur. Institut d’études et de recherches pour l’arabisation (Rabat), en collaboration avec le CNRS (Paris). Éditions Al-Manahil, ministère des Affaires culturelles [Rabat], 1993
VERSION ORIGINAL
Photothèque exceptionnelle sur le Maroc. Un parcours de Tanger au Rif, de Rabat à Marrakech, et du haut de l'Atlas à Ouarzazate, sans oublier les oasis du Sud. L'ouvrage rend compte des architectures marocaines aussi bien que des paysages insolites des villes. Avec un tirage signé par les photographes.
« Pendant ces quelques mois, je suis allé de Guelmim, la porte du Sahara à Guergarat à quelques encablures de la frontière mauri-tanienne, en passant par Tan Tan et Tarfaya, par Laayoune et Smara, par Boujdour et Dakhla, m’enfonçant toujours vers le Sud, sans oublier les invitations, plus à l’Est, de Bouizakarne, Assa, Taghjicht, Icht, Tighmert, Fask, Akka et Tata.
"Le moussem de Tan Tan. Chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité, Kitín Muñoz Le moussem ou festival de Tan Tan a été, pendant des siècles, un rassemblement social, culturel et commercial important des tribus du Sahara et d'autres nomades en Afrique de l'Ouest. Manquantes dans les années soixante-dix, le gouvernement marocain a repris en 2004, ce qui en fait un événement international où de nombreuses personnalités de renom, marocains et étrangers participants. Elle a été déclarée patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO en 2005."
Ce splendide ouvrage qui vient de paraître aux éditions Malika allie la poésie des photographies d’Hervé Nègre à la qualité littéraire et ethnologique du texte de Claire Cécile Mitarte. Cette étude érudite sur les drapés des femmes maures, réalisée à l'initiative de l'Agence du Sud, entraîne le lecteur dans un passionnant voyage : « Tout au long de la côte atlantique du Sahara, depuis les contreforts de l’Atlas jusqu’aux rives du fleuve Sénégal, les femmes se drapent d’une même mesure d’étoffe qu’elles agencent d’un semblable mouvement. La Melhfa , dont le radical arabe signifie « couvrir », « envelopper », s’enroule autour du corps pour être nouée aux épaules avant de recouvrir les cheveux, l’extrémité du tissu étant rejetée en arrière par-dessus l’épaule gauche ».
Hommage Poétique et Artistique. Ouvrage en arabe et en français, orné de 48 reproductions des plus belles et les plus célèbres des peintures de la Femme du Maroc, exécutées entre le XIX et le XXI siècle par les plus grands maîtres de L’art. La plus part de ces œuvres sont publiées pour la première fois avec une anthologie de poèmes qui font l'éloge de la femme.